Notre maraicher habituel sur le marché du Colvert le dimanche à Amiens nous a proposé de gôuter ses magnifiques pêches blanches plates.
Comme vous le savez, nous sommes assez difficile quand aux aliments, et, ces pêches aplaties semblaient avoir au niveau du noyau les mêmes problèmes que les grosses pêches bien rondes et sur-gonflées dont l’amande commence à sortir d’un noyau fendu et le cœur à pourrir. De plus, le tarif semblait exorbitant proportionnellement au nombre de bouchées… Non, en fait, rien ne nous attirait dans ces fruits tous ratatinés.
Mais généralement, notre maraicher est d’assez bon conseils. Il a bien compris que pour garder notre clientèle, il a tout intérêt à ne pas nous refiler de la merde.
Wikipédia nous dit à propos des pêches plates qu’il s’agit de « Pentoo (du chinois Pan Tao signifiant « Pêche du Paradis ») ou « pêche plate de Chine» (« Paraguaya » en espagnol) (parfois doughnut peach en anglais en raison de sa ressemblance avec un beignet). Elles peuvent être à peau duveteuse ou à peau lisse, à chair blanche ou jaune, à noyau adhérent ou non. »
Celles qu’il nous a vendues étaient du type duveteuse à chair blanche et noyau non adhérent. Que dire, elles étaient délicieuses. Une fois passée sous l’eau et essuyée le léger duvet, en la tenant entre le pouce et l’index, pas besoin de l’éplucher, elle se déguste comme un petit beignet. Certes, il y a moins de chair que dans une pêche classique mais ce petit format permet de la manger sans perdre une goutte de jus et lorsque comme moi on est habitué à tâcher ses vêtements, c’est appréciable.
Au niveau du goût, elles étaient légèrement plus fruitées qu’une bonne pêche blanche mais largement plus que ces fruits farineux et artificiellement gonflés qui passent leur maturation au sein des frigos et que l’on rencontre si souvent sur les étals avant qu’ils ne viennent pourrir dans nos corbeilles.
Aussi délicieuses soient’ elles, cela restent des pêches et donc des fruits fragiles au toucher qu’il faut ménager. Elles sont délicieuses et je vous prédit qu’elles sont appelées à remplacer les autres, les grosses si leurs qualités restent aussi mauvaises.
Comme vous le savez, nous sommes assez difficile quand aux aliments, et, ces pêches aplaties semblaient avoir au niveau du noyau les mêmes problèmes que les grosses pêches bien rondes et sur-gonflées dont l’amande commence à sortir d’un noyau fendu et le cœur à pourrir. De plus, le tarif semblait exorbitant proportionnellement au nombre de bouchées… Non, en fait, rien ne nous attirait dans ces fruits tous ratatinés.
Mais généralement, notre maraicher est d’assez bon conseils. Il a bien compris que pour garder notre clientèle, il a tout intérêt à ne pas nous refiler de la merde.
Wikipédia nous dit à propos des pêches plates qu’il s’agit de « Pentoo (du chinois Pan Tao signifiant « Pêche du Paradis ») ou « pêche plate de Chine» (« Paraguaya » en espagnol) (parfois doughnut peach en anglais en raison de sa ressemblance avec un beignet). Elles peuvent être à peau duveteuse ou à peau lisse, à chair blanche ou jaune, à noyau adhérent ou non. »
Celles qu’il nous a vendues étaient du type duveteuse à chair blanche et noyau non adhérent. Que dire, elles étaient délicieuses. Une fois passée sous l’eau et essuyée le léger duvet, en la tenant entre le pouce et l’index, pas besoin de l’éplucher, elle se déguste comme un petit beignet. Certes, il y a moins de chair que dans une pêche classique mais ce petit format permet de la manger sans perdre une goutte de jus et lorsque comme moi on est habitué à tâcher ses vêtements, c’est appréciable.
Au niveau du goût, elles étaient légèrement plus fruitées qu’une bonne pêche blanche mais largement plus que ces fruits farineux et artificiellement gonflés qui passent leur maturation au sein des frigos et que l’on rencontre si souvent sur les étals avant qu’ils ne viennent pourrir dans nos corbeilles.
Aussi délicieuses soient’ elles, cela restent des pêches et donc des fruits fragiles au toucher qu’il faut ménager. Elles sont délicieuses et je vous prédit qu’elles sont appelées à remplacer les autres, les grosses si leurs qualités restent aussi mauvaises.
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