mardi 7 décembre 2010

Les vins de bordeaux

CIVB diffuse la campagne « Apéros Vintage de Bordeaux ».
Depuis deux ans, aux beaux jours, les vins de Bordeaux investissent les bars les plus branchés de Paris pour faire (re)découvrir toute leur diversité dans une ambiance conviviale et décontractée.
Au programme : dégustation de bons vins de Bordeaux, dans toutes les couleurs et à prix sympa, sur fond de déco vintage et concert rock ! Aussi un vrai moment d’échange entre les viticulteurs et les amateurs de vins.

À travers cette vidéo, partagez ces moments de convivialité en présence de celles et ceux qui font Bordeaux.

Pour voir d'autre vidéos : www.youtube.com/VinBordeaux

Découvrez le nouveau site des vins de Bordeaux : www.bordeaux-autrement.fr

Devenez fan sur Facebook : www.facebook.com/VinsDeBordeaux


*** L'abus d'alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération ***

vendredi 3 décembre 2010

Saucisses, boudins et saucissons


saucisses
Mise en ligne par The Shellyfish

J’ai commencé ce message suite à la recette de chou-fleur façon Mado qu’Agnès propose dans son blog : http://la.cuisine.d.agnes.over-blog.fr/ et après que Claudine est déclarée d’autoritaire façon : « J’ai pas de Toulouse, ce sera des Diots ». Je me suis dit qu’il serait bon d’avoir une sorte de tableau de correspondance entre tous les types de saucisses, boudins, andouilles et saucissons. Malheureusement, le tableau synthétique que j’envisageai commençant à être véritablement complexe, j’ai opté pour une sorte de liste semi-exhaustive que je vous invite à compléter dans vos commentaires.

La saucisse trouve son origine bien avant l’écriture des hommes. Bien sûr elle n’a plus la même composition ni le même usage que jadis mais est toujours aussi populaire. Par populaire, je sous entends qu’il ne s’agit pas là d’un plat que l’on considère comme étant raffiné. Il faut dire que depuis que les hommes savent écrire, on sais que ce mode de préparation de la viande servait essentiellement au transport et à la conservation de la viande plus qu’à sa préparation en vu d’être consommée. Les poètes grecs antiques la citent en exemple et les romains s’en servaient pour le partage des « rations » de campagne.

En effet, dans les premières recettes d’accommodement, les saucisses étaient servi froides, sucées en quelques sorte. Elles servaient plutôt d’unité de mesure. Le boyau ayant servi au transport et à la conservation était jeté et la viande hachée, utilisée comme nous le faisons de nos jours des steaks et hamburgers. Comme dans certains cas, la viande était précuite (boudin), elle pouvait même être mangé en marchant, style pousse-pousse, on ne peut plus pratique en pleine campagne guerrière. Par la suite, après quelques épidémies interdisant les saucisses de viandes fraiche et de sang, la viande fut séchée ou fumée et naquit le saucisson.

Avec le temps, différents types de mélange, de cuisson et même de boyaux furent tentés.

Andolette(andouille de canard), Andouille de Guémené, Andouille de Jargeau, Andouille de Vire, Andouille du Val d'Ajol, Andouillette à la Rouennaise, Andouillette d'Alençon, Andouillette de Cambrai, Andouillette de Jargeau, Andouillette du Périgord, Andouillette provençale, Andouillettes de Troye, Andouillettes de Villers-Cotterets, Baloney, Beuling, Black pudding, Bloedworst, Blutwurst, Boudin à la viande, Boudin blanc, Boudin créole, Boudin de Louisiane, Boudin du Béarn, Boudin noir, Boutefas, Bregenwurst, Cervelas, , Chippolatas, Chorizo, Chouriço, Saucisson d'Ajoie, Saucisson d'âne, Saucisse de Millau, Diot, Figatellu, Fouet catalan, Francfort, Gandeuillot, Gendarme, Grelot, Jésus, Kaszanka, Kielbasa, Kohlwurst, Lacaune, Lapcheong, Longeole, Luganigette, Lukinke, Lukinke, Lyon, Merguez, Molène, Montagne, Montbéliard, Morcilla, Mortadelle, Morteau, Munich, N'duja, Plate, Rauizuss, Red pudding, Rosette, Rotwurst, Salamemilano, Salami, Salchicha huachana, Saucisson à l'ail, Saucisse séche ou à la perche, de Strasbourg, de Toulouse, Saucisson Vaudois, White pudding, Wiener, Zandouille, Zungenwurst.

jeudi 18 novembre 2010

Froggy French Cuisses à la provencale

Les fêtes arrivent et maintenant que la cuisine française est à l’honneur dans le patrimoine de l’humanité, il vous faut être prête en toutes occasions à sortir le grand jeu et recevoir aussi dignement que vous en êtes capable. Cela suppose que vous ayez la possibilité de monter un repas dit « gastronomique » dans l’heure des fois que votre empoté de mari, grisé par l’arrivée sur nos table du beaujolais nouveau, n’invite toute sa hiérarchie à la « bonne franquette ». On sait très bien que cette « bonne franquette » se devra d’être la plus parfaite possible et ce dans le peu de temps dont vous disposerez une fois ses chaussettes mises à laver.

Je vous propose donc aujourd’hui l’un des fleurons de la cuisine française qui s’accorde fort bien des petites bourses et de la congélation. Ce qui vous permettra d’avoir à disposition tout le nécessaire. Il s’agit de cuisses de grenouilles à la provençale ou si vous avez le temps et la patience : Collier de cuisses de grenouilles à la Moustier.

Il faut compter environ par personnes :
- six à huit cuisses
- 1 tomate pelée
- 1 échalote
- 1/2 cuillère à soupe d’huile
- 1/2 gousse d’ail
- un peu de vin blanc (environ 10 cl par personne)
- du sel et du poivre.

La première étape va consister à déballer les cuisses qui lorsqu’elles sont congelées sont généralement emballées une à une afin d’éviter qu’elles ne s’amalgament. En principe, si vos cuisses ne sont pas trop vieilles, elles ne seront pas recouvertes de givre et vous n’aurez alors pas besoin de les sécher au papier absorbant.

La seconde étape consistera à concasser les tomates dans une grande poêle à paëlla avec une noix de beurre. On n’y jette l’échalote et l’ail finement hachés, un peu de thym et de laurier, du sel et du poivre. On laisse revenir deux à trois minutes avant de mouiller avec le vin blanc et retirer du feu.

La troisième étape dépendra essentiellement du niveau de raffinement que l’on souhaite donner à cette soirée. Entre potes, personnellement, je saute allégrement cette étape qui ne sert qu’à la présentation. Dans les deux cas, vous commencez par fariner légèrement les cuisses. Alors, là attention, plus vous en mettrez, plus cela se transformera en bouillie horrible à voir. Mais si vous en mettez trop peu, vous risquez de voir les cuisses s’attacher. Disons donc, un voile de farine. Si votre repas doit se transformer en quelque séance « prout-prout », nous soignerons la présentation en mettant en forme les cuisses. Dotez vous d’environ 40 centimètres de ficelle de cuisine et d’une aiguille à carder. Après, c’est de la couture, il faut piquer chaque cuisse par le bas du dos et les embrocher toutes ainsi. On noue les deux bouts afin d’obtenir une jolie rosace. On va fariner les deux côtés du « collier ».

Dernière étape : On va réserver les tomates dans un saladier et réutiliser la poêle sans la laver. On commence par y mettre l’huile qui va faire doucement frémir les arômes de tomate restant. On y jette les cuisses ou l’on pose délicatement la couronne. Lorsque l’un des côté à pris couleur, on retourne (attention, la couronne est à manipuler avec des spatules). Lorsque les deux côtés sont dorés, cela ne prends pas plus de cinq minutes, on verse les tomates dessus et l’on laisse mijoter environ cinq minutes à découvert.

Soit l’on présente dans la poêle, soit on fait glisser la couronne dans un plat de service directement avec sa garniture. On sert le tout avec un vin rouge frais et léger (beaujolais nouveau), soit avec un blanc fruité et très légèrement sucré(blanc de Cassis).

mardi 16 novembre 2010

Pommes au four micro-onde

Il n’y a pas si longtemps, je vous donnais la recette des pommes au four telles que les faisaient ma grand-mère. Comme il faut vivre avec son temps voici celle que me fait Claudine au micro-onde. Une recette spéciale diabétiques pressé. Il faut cinq minutes en tout, préparation comprise, pour obtenir un bon dessert à moindre cout et au gout presqu’aussi bon qu’autrefois.

Il faut compter une pomme par personne. Comme elle ne sera pas dorée, il vaut mieux l’éplucher. Si il s’agit d’une grosse Boskoop, il faut la couper en quatre, si c’est une petite reinette, on peut la laisser entière, mais une golden, en deux suffira. Il faut ensuite ôter les pépins et disposer la ou les pommes dans une barquette allant au four à micro-onde. On ajoute une cuillère à soupe d’eau par pomme quelque soit sa taille. On saupoudre d’un soupçon de cannelle en poudre, on couvre d’un film ou d’une cloche et l’on enfourne pour trois minutes à 750W.

Cela se mange sans faim. Bon appétit.

lundi 15 novembre 2010

Boosterblog


Je viens de trouver un nouveau site où référencer ce blog :

mardi 9 novembre 2010

Des Rougets au petit jaune


Rouget
Mise en ligne par jmvnoos in Paris

C’est en cette fin d’année que l’on trouve sur les étals des écaillers les rougets les moins cher aussi profitons en pour les accommoder comme dans le sud. Il faut compter pour cette recette un beau rouget par personne. Attention, je vous parle là de rougets rouges dits « rougets grondins » à ne confondre ni avec le rouget-barbet ni avec le grondin gris.
Si vous ne savez pas le faire, faites les écailler par le marchand. Il faut les vider et les laver soigneusement avant de les essuyer avec du papier absorbant et les disposer dans un plat allant au four. On les assaisonne avec du sel, du poivre, un peu d’herbes de Provence( Thym, laurier et romarin), une pointe d’ail et pour mouiller le tout, une cuillérée à soupe de Ricard par poisson. On va laisser le tout mariner une petite demie heure.
Pendant ce temps, on va faire revenir un petit oignon coupé en tranches fines par poisson dans une casserole avec une cuillérée à soupe d’huile par poisson, là encore. Lorsque les anneaux d’oignons sont transparents, on allume son four à température moyenne, ensuite, on verse l’huile et les oignons sur les poissons afin de les recouvrir.
Avant de mettre le plat au four pour environ vingt-cinq minutes, on les arrose avec le jus de deux citrons. Il va falloir servir directement dans le plat de cuisson aussi afin d’agrémenter votre plat, vous pouvez le parsemer de persil haché, de rondelles de citrons ou le flamber avec quelques gouttes de Ricard préalablement tiédies.

lundi 8 novembre 2010

Mousse aux Pêches


Peche
Mise en ligne par *Nicholle*

Je sais que ce n’est pas trop l’époque mais que diriez vous d’une mousse de pêche ?
C’est un petit dessert à servir bien frais et pour lequel il faut prévoir d’une à deux heures dans le haut du frigo.
Il vous faut une boite de pêches au sirop ou environ un kilo de pêches fraiches. Si vous avez opté pour des pêches fraiches, il faut les peler et les couper en petits morceaux avant de les mettre à cuire dans environ 4 ou cinq cuillères à soupe d’eau, le temps d’obtenir une sorte de compote.
Dans les deux cas, réduisez les en pulpe au mixer jusqu’à l’obtention d’une sorte de mousse auquel on ajoute cent grammes de sucre glace, une pincée de sucre vanillé et le jus d’un demi-citron. On mélange dans un saladier.
On va fouetter trois blancs d’œuf en neige ferme et les incorporer dans la préparation de pêche. Dans un autre saladier on va battre un petit pot de crème fraiche en chantilly.
Dans six coupes à glace, on va répartir la mousse de pêche et décorer avec la chantilly. On va ensuite placer les coupes entre une et deux heures dans le haut du frigidaire avant de servir.
Ah ! J’ai oublié de vous dire d’enlever les noyaux mais je pense que cela va de soi.

lundi 12 juillet 2010

Bébés nageurs

Huggies® Little Swimmers®, partenaire de la FFN et de la FAEL vous fait découvrir l’activité bébés nageurs en vidéo !
Les activités aquatiques apportent de nombreux bienfaits à bébé :
- Stimulent l’éveil et la coordination des mouvements,
- Développent la confiance en soi et la sociabilité des petits,
- Relaxent votre enfant et lui procurent une sensation de bien-être et de détente.

Retrouvez tous les bienfaits de cette activité en vidéo.

mercredi 30 juin 2010

Une soupe de figues fraiches

Une recette simple, vite faite et pas chere : Une soupe de figues fraiches.

Il faut prévoir quatres figues par personnes que l’on lavera soigneusement, on ôtera les queues avant de les couper en quatres quartiers et de les déposer dans un grand saladier. Pour éviter qu’elles ne se gattent, on versera dessus le jus d’un demi citron, un verre de madère et cinquantes grammes de sucre glace. On remue le tout à la cuillère de bois.

Dans un autre saladier, on va monter au mixer un petit pot de crème fraiche en chantilly bien ferme et on l’incorpore doucement aux morceaux de fruits avant de placer la soupe au réfrigérateur.

Bon appétit.

Biscuit de framboises meringué

Comme en ce moment, nous récuppérons, en allant nourrir les chats chez Matthieu, des fraises et des framboises en pagaille, j’ai eu envi de vous donner une recette de gateau au framboise comme me le faisait ma grand-mère.


Dans un saladier, on va casser quatre œufs et mettre environ 120 grammes de sucre, un sachet de sucre vanillé, une pincée de sel. On bat le tout au fouet, en tentant d’obtenir une crème blanchâtre. On va mettre le saladier au bain marie tout en continuant de battre la préparation. Au fur et à mesure, les œufs vont se coaguller et le mélange va prendre de l’ampleur au point d’occuper trois fois sa taille dans le saladier. Quand cela sera le cas, on ôte le récipient du feu et on lui incorpore en pluie environ 15 grammes de fécule et 80 grammes de beurre fondu.

On va verser ensuite la préparation dans un moule à manqué préalablement beurré avant de le faire cuire environ 25 minutes.

Pendant ce temps, on lave soigneusement 200 grammes de framboises et l’on garde quelques fruits pour la décoration, le reste on l’écrase à la fourchette ou au pilon. On va faire un sirop léger avec un demi verre d’eau et cinquantes grammes de sucre. Lorsque le sirop sera refroidit on ajoutera un petit verre de Grand Marnier.

Lorsque le gateau est cuit, on le coupe en deux et l’on imbibe l’interieur de chaque partie avec le sirop avant d’y étaler les framboises. On referme le gateau.

Pour la décoration, on va monter en neige ferme trois blancs d’œuf avec cent grammes de sucre. On recouvre le biscuit de ce blanc d’œuf à la spatule avant d’y parsemer des amandes effilées. On met le biscuit sur une plaque de cuisson et environ 10 minutes à four très doux jusqu’à ce que la meringue ai pris une jolie couleure dorée.

Lorsque c’est enfin près, on le laisse refroidir avant de placer au dessus les dernières framboises et on le garde au réfrigérateur jusqu’au moment de servir.

mardi 29 juin 2010

Langoustines aux amandes


Langoustine
Mise en ligne par bugmonkey

Allez, aujourd’hui, une petite recette d’étè qui nous vient d’orient : Des langoustines aux amandes.

Deux solutions, soit vous avez un à deux kilogrammes de langoustines fraiches, soit vous utilisez des surgelées. Si elles sont fraiches, on va les plonger dans de l’eau bouillante légérement salée entre deux à cinq minutes selon grosseur.
On ne va garder que les queues de langoustines décortiquées, ce en quoi l’on rejoint celles et ceux qui préférent les congelées.

Dans un grand saladier, on va préparer une marinade à base d’un verre à moutarde de saké, quatre cuillères à soupe de sauce soja et une cuillère à soupe de poudre de glutamate. On y verse les queues de langoustines, on touille avant de laisser mariner durant une bonne heure environ.

Pendant ce temps, on va faire cuire environ 500 grammes de germes de soja en les plongeant deux minutes dans l’eau bouillante avant de les égouttés.

Dans une sauteuse, on va faire revenir les queues à feu vif de façon à les dorer. On ajoute environ une demie tête de celeri rave râpé fin, 200 grammes d’amandes effilées, le reste de jus de la marinade et un peu de poivre. On laisse cuire à feu doux durant cinq minutes.

Une dizaine de minutes avant de servir, on jette dans la préparation les germes de soja et on laisse cuire.

C’est sur un grand plat de service que l’on versera la préparation de façon que les germes de soja se retrouvent en dessous et les queues au dessus et l’on sert chaud ou légérement tiéde. C’est délicieux et simple à réaliser.

mardi 15 juin 2010

La tambouille

Allez, histoire d'en rire une recette de DjéDjé :

Recette : Cocotte d'Angie pissenlit sur pierres qui roulent, n'amassent pample mousse

Difficile/ Cher/ Rare

Temps de préparation : 1H30

Temps de cuisson :1h

!!!! A déguster en famille !!!!

Ingrédients:
- 1 bébé (de préférence élevé sous la mère). 6,5 Kg, le bébé (compter que les convives, vaut mieux les inviter au cinéma).
- 1 bouquet de préférence garnie,
- La vitamine D et la vitamine K1, en pipette (dans le sac de change en bas de l'escalier)
- Du pissenlit par la racine (une poignée ou deux),
- 1 cocotte minute,
- C'est tout.


Préparation:
- Arrachez la pièce du sein de sa mère (au besoin appâtez le avec quelques subterfuges),
- Faîtes style : 'areuh, areuh, bougnougnougnou, qu'il est joli le bébé à sa maman! Et le Youki, hein, il est à qui, …)
- Continuez sur la même lancée pendant un petit moment,
- Au moment où la pièce s'y attend le moins, opérer un glissement de la main droite sous les fesses tandis que la main gauche replie les genoux en position génuflexion,
- A l'aide de votre bouche saisissez la cocotte minute et faites glisser le tout (la pièce, pour ceux qui ne suivrait pas mes phrases toujours trop longues),
- Disposez le tout sur la plaque de cuisson,
- Ajoutez le reste (tout le reste)
- Laissez mijoter,
- Laissez mijoter mais surveiller quand même),
- Disposez la pièce à côté d'un Pamplemousse, sur quelques cailloux glanés de-ci, de-là, croquez sans tarder ...

Idée du chef: Vous pouvez accompagner ce plat d'un verre de boisson qui pique et d'un panaché de Crozets et de polenta.

Conseil de préparation : Ne désossez, ni ne videz la pièce !

Téléchargé par Djédjé guck in die luft le 3 jan 09 à 1:45 (CEST).

vendredi 4 juin 2010

Charlotte au chocolat


Aujourd’hui, on va se lancer dans une recette un peu difficile mais pas cher, un dessert, j’en bave déjà sur mes baskettes. Nous allons nous lancer dans une CHARLOTTE AU CHOCOLAT. Tout d’abord, nous allons préparer la crème patissière au chocolat pour cela, on vat séparer les jaunes des blancs de quatre œufs. Avec les jaunes on méllange 125 grammes de sucre en poudre jusqu’à l’obtention d’une pâte bien blanche. On y incorpore cinquante grammes de farine et on la rallonge avec un demi litre de lait chaud et l’on fait bouillir à feu vif au moins une minute sans cesser de mélanger. Avant de retirer du feu, on verse un petit verre à liqueur de grand-marnier ou de bénédictine. Pendant que cela refroidit doucement, dans une assiétte creuse, on verse un demi verre à moutarde de grand-marnier ou de bénédictine selon son gout. Ensuite, on va tapisser les parois d’un moule à charlotte avec des biscuits à la cuillère que l’on trempera une seconde, pas plus, dans l’alcool. Quand ce sera fait, on verse une petite partie de la crème puis une nouvelle couche de biscuit et ainsi de suite, en terminant bien évidemment par des biscuits. Si l’on a pas de moule à charlotte, on peut prendre un petit saladier en verre. Sur les biscuits, on place une petite pile d’assiettes destinée à peser sur ceux ci pour qu’ils absorbent le jus et se comprime. On met le tout au moins trois à quatre heures au frigidaire. Environ une petite demi-heure avant de passer à table, on fait fondre une plaquette de chocolat à cuire avec un peu d’eau et ce qui restait de l’alcool dans l’assiette, quatre cuilléres à soupe de sucre en poudre et autant de crème fraiche épaisse. On méllange et on la nappe sur le gateau démoullé. Si l’on n’est pas trop rassuré sur la tenue du gateau, on peut renforcer la solidité de l’ensemble de deux façon : on imbibe beaucoup moins les gateaux à la cuillére (que quelques goutes) ou on diminue la quantité de créme fraiche dans le nappage au chocolat. Il durcira plus vite et tiendra mieux l’ensemble.

mardi 9 mars 2010

Omelette soufflée aux airelles


Souffle omelette
Mise en ligne par framboise

Comme il y a longtemps que je n’ai pas donné ici-bas de dessert, en voici un de simple, rapide et abordable. Il ne nécessite pas beaucoup d’ingrédients et peu rapidement bluffer vos convives.

On va commencer par casser huit œufs dans un grand saladier tout en mettant de côté deux blancs. On va battre ces œufs avec une bonne cuillère à soupe de crème fraiche épaisse et une cuillère à soupe de sucre vanillé.

On monte en neige épaisse les deux blancs que l’on a réservés avec une cuillère à soupe de sucre glace. On les incorpore délicatement aux œufs battus en omelette.

Dans une poêle, on va faire fondre une noix de beurre et on verse les œufs dedans. Pour faire une omelette, on soulève les bords à la spatule afin que le surplus de jus coagule sur les bords et vienne épaissir le centre.

On rince une poignée d’airelles que l’on sèche délicatement et quand l’omelette est cuite, on la verse dans le plat à service tiède et l’on place les fruits au centre avant de la replier sur elle même. Il faut la servir tant qu’elle est tiéde.

mercredi 3 février 2010

Quelques prières pour Haïti



Depuis le 12 janvier et le séisme qui a dévasté la région de Port-au-Prince, Haïti a perdu outre 200 000 morts, 60% de son PIB. Or en avril débute la saison des pluies et celle des ouragans s'annonce pour juin.


Même si la communauté internationale, qui a choisie d’annuler la dette du peuple d’Haïti, fourni bien toutes les tentes qu'elle a promi aux sinistrés, ce sera qu'une goutte d'eau dans la tempête. Comme l’a si bien dit le Premier ministre haïtien, Jean-Max Bellerive : "Le peuple d'Haïti a besoin de plus, encore plus, pour assurer la reconstruction."


Je pense que c'est la raison pour laquelle, l'association AED a pris la décision de consacrer l’opération « Lumière d'Espérance » plus précisément aux cent cinquante évangélistes d’Haïti qui en quelques minutes se sont retrouvés à la rue. Après tout, A.E.D. signifie « Aide à l’Église en Détresse » et l’église haïtienne est en état de détresse.


Une première aide d’urgence de cinquante mille euros a déjà été débloquée pour pallier au plus urgent. Mais là encore, c'est bien peu de chose comparé à l'ampleur des besoins.


Je ne sais pas si vous réalisez combien, sentir la communauté internationale et plus particulièrement la francophone en communion de prière, peut insuffler d’énergie à cette population profondément croyante. Vous pouvez à cette adresse : Haïti www.aed-france.org déposer vos dons mais aussi vos prières de même bloggeurs et bloggeuses si vous souhaitez comme je le fait aider à la diffusion du message comme des bannières, vous trouverez tout le matériel à cette même adresse.



Article sponsorisé

mardi 2 février 2010

Crêpes soufflées au bleu

Pour la chandeleur, je vous propose une recette un peu spéciale et qui vous changera des sempiternelles et basiques crêpes sucrées ou salées. Pour première étape, nous allons faire dans un grand saladier une pâte à crêpe en se basant sur 250 grammes de farine.

On va la laisser reposer une bonne heure tout comme nous d’ailleurs puisqu’après, c’est vraiment un plat de dernière minute. Donc au bout d’une heure, dans une petite casserole on va faire fondre au bain marie environ 125 grammes de bleu de bresse(pas la croute) et cinquante grammes de beurre. On va tenter d’obtenir une crème assez homogène que l’on mélange à la pâte à crêpe.

Dans un autre saladier, on va monter deux blancs en neige ferme que l’on incorporera délicatement dans la pâte.

Dernière étape : On fait des crêpes à feu vif. Elles seront soufflées et légèrement parfumées au fromage. Elles doivent être servies immédiatement avec un vin rouge assez charpenté. Vous allez vous régalé.

lundi 18 janvier 2010

Mulet et autres poissons de nos rivières

Les premiers jours de l’année correspondent à la période d’abondance de ce beau poisson à chair blanche, grasse et savoureuse qui fraie dans nos eaux. On choisira pour nos convives des poissons d’environ 300 grammes vidés et écaillés. On les lavera soigneusement avant de les sécher au papier absorbant.

Dans un plat ou une assiette creuse on versera l’équivalent d’un bol de lait dans un second, entre 50 et cent grammes de farine. On commencera par saler et poivrer les poissons, intérieur et extérieur avant de les tremper d’abord dans le lait puis dans la farine.

Dans une grande poêle à poisson, on fait fondre quarante grammes de beurre dans deux cuillérées d’huile. On n’y mets les mulets à frire environ 6 minutes de chaque côté. Entre deux, on hache bien fin une échalote et un bouquet de persil.

Quand les poissons sont cuits, on les couche dans un plat de service chaud et on les arrose avec le jus du citron. Juste avant de les servir, on les recouvre avec soixante grammes de beurre fondu et le hachis d’échalote et de persil.

Beignets de Bolets des Cévennes


Voici quelques temps déjà que je ne vous ai pas fait saliver par une petite recette. Il y a quelques temps, c’était des beignets aux ananas, aujourd’hui, je vous propose des beignets de cèpes. C’est un excellent légume d’accompagnement pour une grillade ou une viande bien rouge. Comme d’habitude, on commence par préparer la pâte à beignets. Dans un grand saladier, on verse 250 grammes de farine et au dessus deux jaunes d’œufs. On gardera les blancs pour plus tard. Un œuf entiers et deux cuillères à soupe d’huile. On mélange soigneusement le tout et on mouille peu à peu avec de l’eau tiède jusqu’à obtenir une pâte souple mais pas liquide. On va la laisser reposer une petite demi-heure. Durant ce temps, on va laver quelques beaux chapeaux de cèpes en les passant sous l’eau courante et on va les sécher dans du papier absorbant. L’important c’est de ne pas les laisser se gorger d’eau. On va les détailler en quartiers que l’on va faire dorer à feu vif quelques minutes avec une noix de beurre. On sale et l’on poivre. On va monter en neige les deux blancs qui restent et l’on mettra là une pincée de sel. Cela les aidera à « s’affirmer ». On les incorpore à la pâte et piqués par une fourchette, on y plonge les champignons avant de les plonger dans l’huile bouillante. Une fois qu’ils sont dorés et gonflés, on les sort avec une écumoire avant de les mettre à égoutter dans du papier sopalin et de les servir aussitôt.

jeudi 7 janvier 2010

Vin de messe


Je ne vais pas vous parler du vin de messe, mais tout de même de la transsubstantiation en espérant que cet appel ne restera pas vain.

 


La transsubstantiation, c’est la transformation d’une substance en une autre. En l’occurrence pour les chrétien la transformation du vin en sang du christ et idem pour le pain. Ce changement d’état d’une substance, c’est un peu ce que l’on vous demande du 25 décembre 2009 au 2 février 2010.


L’Aide à l’Église en Détresse (AED, présente dans 145 pays) organise durant cette période, une opération de mobilisation online intitulée « Lumière d'Espérance ». Son objectif, réunir 4000 bougies pendant 40 jours pour les prêtres ! A l’occasion de l’année sacerdotale et pendant 40 jours, de la Nativité jusqu’à la fête de la Présentation (2 février) appelée aussi « la Chandeleur », l’Aide à l’Église en Détresse (AED) vous propose d’allumer virtuellement un cierge sur son site Internet www.aed-france.org afin de soutenir les prêtres évangélisant de par le monde.


Ainsi, vos actions, virtuelles ou concrètes se transformeront en aides pour ces prêtres, qui sont persécutés ou menacés. En allumant 4 000 cierges en 40 jours mais aussi en agissant concrètement, en faisant un don pour ceux, oubliés, qui n’ont pas les moyens élémentaires pour survivre ou qui n’ont pas les ressources pour financer leurs projets communautaires.


Vous pouvez aussi vous mobiliser et faire bouger autour de vous, vos amis en écrivant une prière, même très courte, et qui constituerons un carnet de prières envoyé à tous les évêques de France. Grâce à des encarts mis à votre disposition sur le site, vous pouvez diffuser le plus largement possible ce message d’Espérance et vivre cette communion virtuelle.


Par ailleurs, je vous invite – blogueurs et blogueuses – à pousser vos lecteurs à s’informer et se mobiliser en ligne pour soutenir ces prêtres persécutés ou menacés et peut-être, contribuez-vous à sauver la vie d’un prêtre ou à l’aider dans sa mission sacerdotale. Pour participer à l’opération « Lumière d’Espérance » : http://www.aed-france.org/ dès le 25 décembre 2009 ou http://www.aed-france.org/lumiere-esperance/ .


PS : Vous pouvez également relayer (gracieusement) des bannières de cette opération. http://www.aed-france.org/lumiere-esperance/partenaires/


Article sponsorisé